dimanche 8 juin 2008

Last week in Montreal

Comment optimiser à fond sa dernière semaine à Montréal? On prévoit plein plein de trucs.

On commence lundi par une soirée entre filles, pour aller voir Sex and the city avec Lisa et Elo. On a aimé, on a pleuré, on a ri, parfois les 2 en même temps. Et puis Elo a passé la nuit à la maison, comme au bon vieux temps, quand on avait encore des cours et que le paysage était tout blanc.





Mercredi, on réapprend à faire les makis, et on se régale. On teste le maki chargé en Wasabi, et la technique pour pas que ca pique. J'ai aussi appris à faire la miso soupe, et ai bu la moitié de la casserole à moi toute seule.




Jeudi, on récupère Sab de NY, on passe l'aprem à faire les folles sur le vieux port et le soir direction resto Coréen, pour revoir Alex, notre suisse-franco-accro à chocolat-procrastinateur préféré. C'est aussi l'occasion de revoir Claire et Marc et de leur dire aurevoir. Et puis direction Café Campus une dernière fois. Après tout, il fallait bien dire au revoir à cet endroit mythique des étudiants étrangers.




Vendredi, mise au max. Je m'occupe du maquillage et Lisa de la coiffure et nous voilà partis, direction le 737, légèrement à la bourre pour rejoindre Elo, Dai, Elise, Jo, Philipp l'Austrichien, et Gwen. On rentre gratuit, grâce à nos amis, les productions Diaz. Heureusement, parce qu'à part la vue, la musique et l'ambiance est toujours aussi pourrie. Au final, une Sab bien allumée et une bonne soirée.





Samedi, Sab repart, non sans le détour traditionnel chez Cora. Et puis, il faut dire au revoir à voisin qui est parti aujourd'hui pour une semaine en République dominicaine. Dur, dur, c'est le début de la fin. Je pleure, Michel pleure un peu. J'ai encore un peu de mal à réaliser que je peux pas aller frapper à la porte du balcon arrière pour lui taper la causette en fumant une petit clope.

Céci et Michel



Carl, le semi-voisin






Avec Mercédes


Et voilà, ce soir, dernière soirée. Petite fête à la maison, et partie de Bingo au Bingo Mont-Royal, parce que depuis qu'on en parle, il fallait qu'on y aille.

Je vous raconterai ca demain, entre 2 pesées de valises. Là il faut que je parte aux tam-tams une dernière fois.

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